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2017 a démarré sur un mode fracassant, en ce qui me concerne du moins, puisque le 2 janvier je me suis (fra)cassé le poignet en sortant d’un Monoprix dans ce qui était déjà mon ancien quartier.
Un long moment aux urgences de l’hôpital Tenon dans un box solitaire sans même une chaise pour m’asseoir et on m’a annoncé une grosse fracture nécessitant une opération.

Plâtre provisoire et retour à la maison, pas mal choquée et assez mécontente de ce vol plané. Mais je n’aurais pas dû être surprise. Comme le disait l’horoscope de mon journal télé à cette période : « vous aurez le sentiment d’être prisonniers d’une situation contrariante »…..

Opération à l’hôpital Saint-Antoine, 3 broches, 7 semaines de plâtre -bleu cette fois-, 2 mois d’arrêt.

On ne se rend pas compte mais pour beaucoup de gestes de la vie quotidienne, on a besoin que le poignet tourne. Quand il est bloqué, pas mal de choses sont difficiles, dévisser une bouteille, ouvrir un pot de crème hydratante, se sécher le dos et taper sur un clavier. Les premières semaines, j’en étais incapable. Trop douloureux.

Encore quelques jours si tout s’est bien recollé.
D’ici là, et avec retard, tous mes voeux pour une excellente et fracassante (métaphoriquement parlant) année 2017.

(toujours un souci avec ce nouveau style….)