Soap&Skin en concert ce dimanche
Vous vous rappelez? Il y a quelques temps, je vous ai parlé d’Anja Plaschg, alias Soap&Skin, cette jeune chanteuse-auteure-compositrice, d’un genre plutôt expérimental, la « Wunderkind* » (l’enfant prodige), une sorte de Björk de l’espace germanique. On lui doit cette étonnante reprise de « Voyage voyage » de Desireless et le superbe clip qui l’accompagne (à revoir ici).
Et sur son deuxième album, la chanson « Vater« , la seule qu’elle chante en allemand.
Anja Plaschg est en concert ce soir à la Cigale à Paris et je me réjouis d’y assister. Elle réalise également des clips comme celui-ci
qui fait appel à des extraits de Fritz Lang. Ne renoncez pas trop vite! Ca vaut le coup…. Il est bon de sortir des musiques formatées, d’explorer d’autres routes.
(please put me to bed
and turn down the light)
fold down your hands
give me a sigh
put down your lies
lay down next to me
don’t listen when I scream
bury your doubts and fall asleep
find out I was was just a bad dream
let the bed sheet soak up my tears
and watch the only way out disappear
don’t tell me why
kiss me goodbye
for neither ever nor never
goodbye
neither ever nor never
goodbye
Written by Sascha Ring & Anja Plaschg, taken from the album « The Devil’s Walk » by Apparat. Released on Mute Records, 2011
*Bonus pour les germanistes qui me font l’amitié de venir ici: un petit documentaire en allemand intitulé « un coup de coeur : Soap&Skin ».
7 Comments
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Oh là, j’avais raté le précédent post sur Soap&Skin avec le clip voyage-voyage : c’est superbe !
Pas mal d’années après l’irremplaçable Nina Hagen (que j’avais vue à Balard dans une salle qui a été détruite), l’Allemagne nous envoie une nouvelle merveille…
J’ai beaucoup aimé cette version de « Voyage, voyage » ainsi que le clip sur des images de Fritz Lang. C’est fascinant de voir à quel point des images presque centenaires peuvent se marier avec des musiques actuelles…
Une découverte pour moi, merci ! 🙂
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