Blog Post

Mon séjour à Sofia ne m’a laissé que quelques heures à Sofia pour visiter et m’imprégner des particularités du pays. Hélas pas assez pour aller faire un tour dans la supérette locale pour voir ce que mangent les Bulgares tous les jours. Juste le temps de voir ce qui était le plus proche de mon hôtel, le Crystal Palace en centre-ville.
En arrivant le dimanche soir, une échoppe de fleurs encore ouverte pour les noctambules romantiques.

L’hôtel est près de l’Université Saint-Clément d’Ohrid fondée en 1888. Dans la rue,

des personnes âgées vendent des livres d’occasion et des petits objets. Les boites électriques ont été décorées…

Lundi matin, dans la rue, devant la Bibliothèque nationale, les étalages ont fleuri.…

Il s’agit de la martenitsa sous toutes ses formes. La martenitsa est un pompon, un bracelet ou un petit personnage en laine ou coton rouge et blanc qu’on offre à ses amis, ses collègues, ses voisins, le 1r mars pour fêter l’arrivée du printemps. C’est un porte-bonheur et c’est une tradition à laquelle ne dérogent pas les Bulgares. Il faut porter sa martenitsa, ou ses martenitzi (car on en offre et on en reçoit) au poignet, au revers du manteau ou de la veste, autour du cou, du 1r mars jusqu’à l’arrivée des oiseaux migrateurs. A ce moment-là, on peut l’enlever mais on ne la jette surtout pas! Il faut l’accrocher à un arbre.
Je ne suis évidemment pas repartie sans la mienne à laquelle la coccinelle ajoute encore plus de bonheur à venir!