Allemagne années 20 (exposition – suite)
Dans cette exposition au centre Pompidou, j’ai aussi beaucoup aimé les natures mortes.
Un fouillis de plantes dans cet autoportrait (détail)
Des pots de plantes dûment munis de leur soucoupe sur une jolie table en fer forgé.
Des rollmops (filets de harengs marinés entourant un cornichon), un des mets préférés de mon père. Je ne saurais même pas où en trouver aujourd’hui…
Et une boite de saucisses sur le même comptoir, à côté de petits verres à vin ou à schnaps.
Ce garde-barrière fait penser à des tableaux de Edward Hopper (1882-1967).
Enfin la reconstitution d’une cuisine « moderne », video à l’appui, qui prouve combien la femme perdait de temps avant à circuler partout. L’architecte qui a conçu cette cuisine dont je voudrais bien moi-même est une femme, Margarete Schütte-Lihotzky.
Deux billets ne suffisent pas en réalité à épuiser tout l’intérêt qu’on peut trouver à cette exposition. Il y a aussi un important travail sur le graphisme, les meubles, etc…
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Nous habitons en province et souvent nous manquants les expositions à Paris. Celle ci donne beaucoup de regrets. Ces témoignages d’une époque bien particulière y de l’histoire allemande sont sûrement très intéressants.
L’exemple de la « Frankfurter Küche » est épatant, c’est une femme qui l’a conçue, évidemment…
Exposition tout à fait formidable.